mardi 31 juillet 2018

Vintage Vanlife...quand ça lâche!




Avoir une micro maison de 38
ans parfois ça réserve des surprises. Comme peser sur le piton des power locks et...rien. Même pas un semblant de faiblesse ou un signe avant coureur de sa mort. Le piton a juste décidé de ne plus marcher.

Une enquête subséquente a révélé une fusible brulée mais allez savoir pourquoi. Démontage de panneaux accompagné de Yoga tibétain sous le dash dans le parking du Walmart n'ont pas porté fruit. Le Gremlin demeure bien caché. Tant qu'à être dans les panneaux de portes, ont débranche tout ça pour revenir au mode manuel. Un pieds de nez au Gremlin...bin non.


Une heure plus tard alors que nous quittons pour le Nouveau-Brunswick, il frappe de nouveau et assasine notre vénérable CB à l'aube de ses 40 ans.

Aujourd'hui c'est 2-0 pour le Gremlin...mais je n'ai pas dit mon dernier mot.

Bonne Route.

Gerry  😊

dimanche 29 juillet 2018

Avoir un plan B, C, etc...



On a 2 choix dans la vie, ignorer les problèmes potentiels ou se préparer. Vivre et rouler dans un véhicule jeune de 38 ans implique des risques dont celui de tomber en panne au milieu de nul part. On a beau prendre les mesures préventives à son entretien mais la possibilité de se retrouver à pieds existe belle et bien.

Comme bien des gens, j'avais considéré de trainer un vélo. Par contre même le plus petit pliant représente du poids et je commence à manquer de place même à l'extérieur de la van.

La solution s'est présentée sous la forme d'une vieille passion qui était dormante, un longboard. Une visite chez Empire à Vaudreuil et les conseils du jeune vendeur m'ont mis sur un pintail de Sector 9 qui est absolument magique. Stabilité et confort sont au rendez vous.

N'ayant plus 15 ans, càd moins flexible et plus mature, j'ai ajouté des protèges poignets au casque pour garder les visites à l'urgence au minimum. Il faut maintenant me refaire les jambes mais on oublie pas tout.

Bien que pas aussi versatile qu'un vélo, le longboard prends moins de place et c'est toujours plus vite que marcher. Un bon retour espace vs rendement.

Parlons du plan C. Dans le désert ou la garnotte, le longboard est inutile. On revient à nos 2 pieds mais il faut avoir l'essentiel sur soi. Un backpack léger fait la job. Le mien à 5 compartiments et contient de l'eau, un chandail chaud, un kit de premiers soins, une boussole et différents trucs qui pourraient me soutenir pour au moins 2 jours. Son contenu change selon son utilisation.

Bien sûr il est possible de combiner les plan B et C ensemble pour faire un tour à l'épicerie. Ça coûte pas cher de gaz!

Bonne Route.

Gerry  :)

mercredi 25 juillet 2018

C'est quoi ça le Boondocking?

Quelque part dans la Belle Province
Le boondocking est un terme anglais qui signifie en gros de demeurer quelque part sans frais de séjour. On va pas s'attarder sur la définition grammaticale mais plutôt sur c'est quoi au juste cette bébitte là. Il faut garder pour compte que la définition peut être différente tout dépendant à qui on parle. Je vous propose de prendre en considération celle de votre humble auteur.

En premier lieu, boondocker c'est l'aventure. Explorer ou bon le vent et la route nous emporte et garder les yeux ouverts. Prendre en considération des endroits qui pourraient appaître non conventionnels. C'est certain qu'un endroit éloigné au bord d'un lac peut être l'ultime, et rare, emplacement paradisiaque. Mais il ne faut pas mettre de coté l'inverse qui pourrait être un simple espace sur la rue. On peut planifier un voyage en boondocking avec diverses applications, Google maps ou des informations dénichées ici et là. Par contre, le boondocking n'est pas une recette parfaite comme louer un camping ou un hôtel, loin de là. La prolifération de groupes sur les réseaux sociaux qui publie ces "spots" améne un plus grand volume et les résidents locaux de ces endroits allument vite. Mettons qu'un fifth wheel qui occupe 4 à 5 espaces de stationnements dans un parc public, ça dérange. Plusieurs sites disparaissent à cause de se genre d'abus.

Pour préserver ces sites le plus possible et de pouvoir profiter de l'acceuil que plusieurs endroits nous offrent toujours, nous devons parler des règles non écrites à suivre, ça c'est le secondo.


  1. Prendre le moins de place possible. Un avantage de voyager en van c'est qu'elle prends l'espace d'une seule voiture. Ok une grosse voiture mais tout de même une.
  2. Ne pas s'étendre. Sortir l'auvent, la table de pique nique et le BBQ en permanence dans un stationnement style Walmart, ça n'a pas sa place. Part ta génératrice tant qu'à y être. Un minimum de discrétion s'impose surtout si vous êtes seul. 
  3. Laisser l'endroit plus propres que vous l'avez trouvé. Même si c'est pas vos cochonneries, ramassez les parce que ça va possiblement passer sur votre dos et sur la comunauté nomade en général. Toujours facile de blâmer les étranges.
  4. Entrer en contact avec les résidents locaux. Pour certains, vous faites peur. Gênez-vous pas pour partir une conversation avec les gens du coin. Vous aimez la place parce que c'est beau? Dite leur. Les gens sont fiers et apprécient quand on leur dit que c'est beau chez eux. Qui sait, un conversation pourra ajouter à l'aventure.
  5. Acheter local. Quand on arrive dans un coin, on fait notre épicerie, on met du gaz, on se donne même la peine d'acheter les tomates locales quand elles sont annoncées sur les tablettes! Vous avez une lettre ou quelque chose à poster? Faite le sur place surtout si un bureau de poste est présent. Il faut contribuer aux endroits qu'on visite, pas les abuser à sec.
  6. Ne pas se stationner dans un endroit privé sans la permission du propriétaire. Cela va de soi.
  7. Ne pas s'éterniser au même endroits trop longtemps. Un soir pour les endroits que vous êtes pas certains.
  8. Ne pas répendre l'information aux quatres vents. Garder vos beau spots pour les gens de confiance sinon ils vont disparaître pas mal vite. C'est certains que plus d'endroits viendront à disparaître si la tendance des vacances à rabais se maintien. Par contre si l'information est diffusée à outrances, les gens qui ne se donnent pas la peine de contribuer ou de vraiment comprendre la fragilité de ce privilège vont en abuser et ils disparaîteront plus vite. Mon opinion, ce n'est pas une vérité absolue.

Troisièment, faire du boondocking c'est aussi de prendre des risques. Coucher dans son véhicule en dehors de l'enclos sécuritaire qu'est le camping apporte des défis. Il faut être prêt à quitter les lieux au beau milieu de la nuit (Toujours stationner le devant du véhicule vers la sortie et garder le poste de conduite libre.). Au mieux, vous vous faites déranger par des policiers qui veulent savoir qu'est-ce que vous faites là (Voir règle #4.) et au pire, des voyoux voudront s'en prendre à vous pour le simple plaisir de la chose (Voir règle #4.). Il faut être mentalement prêt pour ce genre d'éventualité. Si vous n'êtes pas prêt, ne faite pas de boondocking.

Finalement, si vous croyez que le boondocking n'est que la simple activité de se stationner oû bon vous semble sans considération, que c'est une façon facile et économique de faire du camping, vous êtes dans le champs. Faites vos réservations au camping de votre choix et amusez-vous selon vos besoins.

Bonne Route.

Gerry  :)

mardi 24 juillet 2018

Tranche de vie, une histoire de pêche.


Il y a très longtemps quand j'étais jeune gamin, une image sur un sac de chip Laurentien m'a inspiré. Le dude les deux pieds dans l'eau, la canne cabrée à l'extrème, le poisson qui saute hors de l'eau alluma l'imaginaire du jeune garçon de 9 ans.

Mon Père fut immédiatement interpellé et comme par magie une petite canne jaune, des hamecons et des vers sont apparus. Bien sûr le tout arrosé de judicieux conseils comme commencer tôt le matin.

Il regretta ce dernier le lendemain puisque j'étais debout avant le soleil pour ma première aventure de pêche réveillant tout le monde dans le processus.

Après quelques lancés, la petite boule disparait de la surface et je m'empresse de ramener ma première prise. Soudain l'image du bonhomme Laurentien me revient en tête et je tire un grand coup sur la ligne!

Contrairement au graphique sur le sac de chip, je n'avais pas un saumon au bout de la ligne. La pauvre petite perchaude a jalli hors de l'eau pour faire un vol supersonique passé ma tête et elle est allé percuter le mur de pierres derrière moi. Sa mort fut violente mais instantanée.

Cette initiation à la pêche allait tracée le chemin pour les années à venir en ce qui concerne ma pratique du sport.

Avoir un saumon au bout de la ligne par accident et qui part avec ma ligne et la moitié de ma canne, sortir un crapeau de mer juste à coté d'un gars qui vient de sortir une douzaine de soles avec le même appât que moi, etc,etc,etc. Plusieurs plan d'eau du Québec sont jonchés au fond avec mes lignes et mes appâts.

Même mes enfants seront témoins de la malédiction. À leurs demande, je les amène à la pêche malgré mes avertissements de la futilité de la chose. Bien sûr 2 heures plus tard 6 appâts au fond du lac et aucun poisson. Par contre les rires aux éclats de ma progéniture en valaient la peine.

15 ans plus tard je suis à la retraite, je vis en nomade et j'ai du temps. La question se posait si j'allais prendre la peine de recommencer ce calvaire de passe temps juste pour le fun. La trouvaille d'un kit complet de pêche à rabais était un signe.

Je m'y suis remis. À la première tentative toute la bébelle, appât, poid, flotteur, a décroché de la ligne avec un lancé simple. 3 tentatives plus tard, trois appâts au fond et zéro poisson. La malédiction se poursuit et mes enfants se bidonnent toujours mais cette fois sur messenger.

La vie nomade me donne le temps et les endroits magiques pour perdrent mes appâts. Je vous laisserai savoir si jamais j'y accroche un poisson par accident.

Bonne Route.

Gerry  😊

dimanche 22 juillet 2018

Comment sauver son mariage avec des crochets et des washers.


La peinture terminée, on a enfin installé notre auvent et repris le réservoir d'eau grise. Le réservoir a été réussi à moitié et on va devoir reprendre un moment donné avant l'hiver. 2 bon résultats sur 3, on va le prendre. Les bricoles à gauche et à droite ne sont toujours pas terminées mais ça s'en vient pendant qu'on s'habitue à notre nouveau rythme de vie.

Des crochets
Vivre simplement dans un petit espace peu apporter certains défis. "Oû est le remote? T'as vu ma montre? Ousser qui sont mes %$*& de lunettes? Ton $@#&& de linge est encore dans les jambes!" sont quelques exemples de drames qui laissé sans considération et à eux mêmes peuvent mener au divorce ou la page frontispice de Allo Police. Les solutions, comme le style de vie, sont parfois très simples et peu dispendieuses.

Encore des crochets.
Une boîte de crochets à $4 règle moulte problèmes en permettant de s'approprier de l'espace aérien un peu partout dans la van. La montre accrochée au pied du lit est non seulement facile à trouver mais devient pratique pour savoir immédiatement si on vient de se lever à 6h00 ou à 10h00. La combine la plus intense avec un crochet est notre rideau de cabine. L'excédent était "jammé" dans le trou le long de la porte coulissante et débarquait constamment. Une source quotidienne de Cal&$# et de Tab?&%$. 2 washers cousus dans le tissue et 2 crochets posés en haut de la porte et voilà! Le paradis de la simplicté à chaque soir.

Des crochets ET des washers.
Un autre trésor à rabais inestimable sont les petits paniers du Dollorama. Combiné avec des vis à bois et des washers, fini de fouiller dans les draps pour relocaliser le remote de la TV. Il y retourne à chaque fois. Même chose pour les lunettes. Parlant de vis à bois, on avait un petit bateau de bois sur la tablette près des fenêtres. On s'accrochait dedans à chaque fois qu'il fallait mettre les rideaux le soir. C'est cute à temps partiel mais en full time, le bateau allait vite se transformer en Frizbee. Une vis à bois et un peu de colle, BOOM, bateau au mur et hors d'état de nuire. Sa vie est sauve.

Des petits paniers Dollorama.
Finalement, la distribution du poids dans le camion est toujours ré-évalué. Le coffre à outil lourd a été transférré dans le storage devant les essieux. Une autre chose pesante est notre collection de DVD parce que notre TV n'est pas assez intelligente pour lire les fichiers sur un disque dur mobile. Localisé en haut à l'arrière, ils ont été transferrés dans l'armoire à linge de Madame devant l'essieu. Vente facile, l'armoire arriére à plus de place! Un sac à caméra et un DVD doublon de Kill Bill ont pris le bord dans le processus. Le travail se poursuit.

Le petit bateau a la vie sauve!

Bonne Route

Gerry  :)


lundi 16 juillet 2018

2 mois à temps plein dans la van.

Dans une rue quelque part à Pierrefonds.
Vite comme ça, deux mois completés.C'est peu 60 jours mais il en est arrivé des affaires. Énormément de changement dans la van. En passant de fabriquer un nouveau meuble au simples crochets ajouté ici et là. On se trouve à faire des changements pour simplifier notre vie presqu'à chaque semaine. Auparavant, on revenait d'un voyage d'une semaine ou d'une fin de semaine et on planifiait les changements dans les jours à venir. Maintenant ça se passe drette là.

Depuis ma retraite (ou plutôt depuis que j'ai crissé la job là selon les RH.) le rythme de vie à pas mal ralenti. On a pas encore eu l'occasion d'aller se perdre dans la nature puisque nous avons encore quelques obligations à gauche et droite, mais ça s'en vient. Chose comique aujourd'hui, un contact sur Facebook se plaignait que c'était lundi. J'avais même pas réalisé que c'était lundi! Il y a un autre indicateur que je suis déconnecté de la job, j'avais oublié comment certaines personnes pouvaient être stupides. :)

Bien que je n'ai pas à me lever à une heure déterminé chaque matin, je me surprends à être debout à 6 ou 7 heures du matin frais comme une rose. Life is beautiful. Encore plein de trucs à faire sur la van. Je croyais m'avancer aujourd'hui mais la puck ne roulait pas pour moi. Quand le Réno manque de boulons, c'est un maudit gros signe que tu perds ton temps à te battre pour gosser sur quelque chose. Il y a toujours demain...ou après demain.

Sur ce, lâchez pas si vous êtes encore dans le rat race et bonne route.

Gerry  :)

samedi 14 juillet 2018

De retour au Québec, on fini la peinture.

Un gros merci à Jonathan pour l'utilisation de son garage.
Aussitôt que nous avons traversé le pont d'Ottawa pour traverser à Hull, la condition exécrable de la route nous a souhaité la bienvenue à notre retour chez nous. Nous avons fait un crochet vers notre ami Jonathan qui nous avait généreusement offert son garage pour finir la peinture de Tiki Motel. Job de peinture qui avait débuté il y a 3 ans.


Pouvoir travailler avec des jours devant soi à l'abri est précieux. La job est enfin fini même si c'est pas parfait. On a aussi profité du temps pour finaliser quelques détails. C'est incroyable le nombre de tabarnacs que deux simples washers peuvent éviter! Le pinson/réveil-matin était une façon fantastique de commencer chaque journée.

Un retour d'ascenseur pour Jo avec quelques coups de pinçeau.
Après avoir terminé notre visite dans ce beau coin de pays avec ses gens acceuillants qu'est la région de l'Outaouais, nous nous sommes dirigé vers Hawkesbury pour y passer la nuit puisque nous avions un rendez-vous à Lachute le lendemain. Une réalisation lors du trajet que c'est pas le même beat quand on a tout son temps devant soi. Je suis sur la 50 et je passe la sortie pour Faccet. En voyant le clocher du village de l'autoroute je me dis "Mais qu'est-ce que je fais sur l'autoroute moi?"

Chilling
N'étant pas pressé du tout, je sors et j'emprunte la 148 pour pouvoir mieux apprécié le paysage et rouler à un rythme plus raisonnable. Une belle différence après les autoroutes à 6 voies pleines de fous à Toronto.

La rivière Outaouais  à 6 heures du matin. Gracieuseté de 2 mouches qui m'ont réveillé et qui ont payé de leurs vies.
Sur la même chaine d'idée, prendre le temps de vivre et d'observer, j'ai remarqué quelque chose en magasinant au Tigre Géant pour une paire de pantalon. On entre et immédiatement section linge de femme, linge de femme, linge de femme, linge de femme. On tourne le coin et on a section linge d'homme, linge de douchebag et linge de travail. Juste comme ça en passant.  :)


On me demande souvent comment ça se passe la vie à la retraite. La réponse est simple, lentement et avec beaucoup de plaisir.

Toute belle...de loin.  :)
Bonne route.

Gerry  :)

jeudi 5 juillet 2018

Magog change d'idée et il fait chaud en tabarouette!


Une première semaine très active de retraité. Après un arrêt à Montréal pour laver nous et notre linge, on embarque sur la 401 pour visiter des amis à Toronto. Un stop à Iroquois dans un parc face à la voie maritime fut une belle pause de la chaleur intense à Montréal. Le stationnement de nuit y était interdit mais sans heure précise. Pour une nuit, on a pris une chance et on a pas été dérangé. Une constation intêressante, la particularité des maringuoins Ontariens.

Lifeguard de la plage de Iroquois Park
Contrairement à ceux du Québec, qui vous attaquent en gang comme des bums pas de classe, leurs homonymes Ontariens y vont un à la fois. On dirait qu'ils font la queue comme tout bon Anglo-Saxon en attente de leur tour. Je peux juste imaginer la conversation, " After you my good man. No after you. Oh please I couldn't, you were here first. Alright then." Bzzzzzzzzzzz PAF! " Jolly good show old boy. Tally-Ho!" Bzzzzzzzzz PAF! et ainsi de suite. Vraiment civilisé contrairement aux criminels des Laurentides ou les ninjas de la Côte-Nord.


La chaleur tappe fort et le manque de climatisation dans Tiki Motel ne passe pas inaperçu. La seule façon de rester au frais est de nous déplacer selon la température de l'endroit. Aussitôt notre visite terminé à Toronto, qui inclus l'accès à la propriété climatisée de nos amis, on se dirige vers l'endroit le moins chaud et le plus proches de Montréal.


Une superbe visite hier au Warplane Heritage Museum que je voulais voir depuis 20 ans. Je n'ai pas été déçu. Un musée vivant et acceuillant avec des appareils en état de vol. Pas la même expérience qu'un musée statique. Pour $15, un bon deal mais prendre note que l'aéroport est au milieu de nulle part.


Finalement, coup de théatre à Magog. Lors de sa réunion du Conseil de juillet, contrairement à l'annonce dans les médias de vouloir permettre aux véhicules de se stationner dans les endroits privés, les élus ont votés pour le statu quo de l'interdiction. Je ne m'éterniserai pas sur la petitesse d'esprit d'une telle décision, mais plutôt encourager les villes qui sont acceuillantes. Les Trois-Rivières, Rivière-du-Loup, Leclercville, Mont-Laurier, St-Sauveur, Longue-Rive, Ste-Louise de ce monde méritent nos visites et notre argent. Il y en a pleins d'autres, ceux-ci n'étant que quelques exemples.

Bonne Route

Gerry  :)

lundi 2 juillet 2018

Pu de job, pu de problèmes.


Bon c'est fait. J'ai quitté la job pour de bon vendredi dernier. Le travail ne me manquera pas mais la bonne gang que je laisse derrière oui. Le seul moment triste vers la nouvelle vie mais par chance, il y a toujours Facebook et on peut être sélectif. Un autre signe du destin, la Van a fait sont premier tour complet de l'odomètre entre Montréal et Louiseville. Tiki Motel aussi repart à zéro.


Premier voyage sans stress vers Trois-Rivières pour un meet sur le bord de la rivière St-Maurice qui a mis les choses en perspective dès le départ. Pas pressé pour se rendre, pas pressé pour partir. Quelle merveilleuse sensation. Sous cette chaleur intense, un retour au source pour se rafraîchir avec une saucette dans la rivière. Quel plaisir primal incroyable.


À la fin de la rencontre on se dirige avec des amis vers le A&W pour un snack et finalement on décide de passer la nuit à Yamachiche au lieu d'un retour précipité vers la fournaise qu'est Montréal. Bon choix finalement avec un réveil à une matinée fraiche.


Le fourneau nous a frappé sur la 40 à la hauteur de Repentigny. On lave le linge, on prends une douche et on décolle pour Kingston, 8 degrés moins chaud qu'à Montréal. Un des avantages de pouvoir bouger sa maison à volonté.

Bonne Route

Gerry  :)